Passages de grades karaté
Les ceintures de couleur se passent au club jusqu’à la ceinture marron (1er kyu) ; à partir du 1er dan, ces examens sont organisés par la FFKDA sous l’égide du Ministère de la Jeunesse et des Sports.
Jacques Tapol a choisi d’enseigner en appliquant pour ses élèves la même exigence que celle qu’il s’est imposée pour atteindre le haut niveau. On ne peut progresser sans objectifs clairs et précis, sans un tableau de bord matérialisé par un programme. Tout en s’appuyant sur les textes officiels de la FFKDA, ce programme garde une certaine originalité propre à l’enseignement et la personnalité du professeur.
Jacques Tapol veut former des ceintures noires représentatives de l’idéal de perfection recherché dans le karaté do. L’idéal dans le karaté do repose autant sur la technique que sur un certain état d’esprit. État d’esprit que décrit Gishin Funakoshi dans le dojo kun (règles du dojo) ou bien dans son livre « karaté do, ma voie, ma vie ». Il est donc nécessaire d’aborder les ceintures avec sagesse et humilité car dans la culture japonaise, il est plus important de faire bien que de faire vite. Les ceintures ne sont donc pas un moyen de flatter son égo mais de matérialiser une progression technique et mentale.
Les délais entre deux ceintures ne sont donnés qu’à titre indicatif et sur la base d’une pratique régulière aux cours et aux stages.
Avant les examens, les candidats doivent obligatoirement demander au professeur l’autorisation de se présenter. Que ce soit pour les grades délivrés dans le dojo ou pour les examens de « dan » organisés par la FFKDA. C’est une question de respect des pratiquants envers leur professeur mais aussi une tradition du karaté do.
Les épreuves des examens de « dan fédéraux »
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Les kihon : techniques de base seul dans le vide